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Des enfants désherbent une parcelle de riz de bas-fond. Dans les familles les enfants sont une aide précieuse, et malheureusement les personnes vivant près des rizières sont particulièrement exposées au paludisme. Pour l’unicef, au Mali le taux net de fréquentation des garçons à l’école primaire entre 2005-2009 est de 46%. Près de Kouoro-Barrage, Mali, 19 septembre 2010
Des enfants désherbent une parcelle de riz de bas-fond. Dans les familles les enfants sont une aide précieuse, et malheureusement les personnes vivant près des rizières sont particulièrement exposées au paludisme. Pour l’unicef, au Mali le taux net de fréquentation des garçons à l’école primaire entre 2005-2009 est de 46%. Près de Kouoro-Barrage, Mali, 19 septembre 2010
Dans les familles les enfants sont une aide précieuse. Pour L’unicef, au Burkina le taux net de fréquentation des garçons à l’école primaire entre 2005-2009 est de 49%. Près de Willie, Burkina Faso, 18 novembre 2010
Dans les familles les enfants sont une aide précieuse. Pour L’unicef, au Burkina, le taux net de fréquentation des garçons à l’école primaire entre 2005-2009 est de 49%. Près de Willie, Burkina Faso, 15 novembre 2010
Dans les familles les enfants sont une aide précieuse. Pour L’unicef, au Burkina le taux net de fréquentation des garçons à l’école primaire entre 2005-2009 est de 49%. Champs d’ignames à environ 5 km de Passena, Burkina Faso, 21 octobre 2010
Dans les familles les enfants sont une aide précieuse. Pour L’unicef, au Burkina, le taux net de fréquentation des garçons à l’école primaire entre 2005-2009 est de 49%. Près de Willie, Burkina Faso, 14 novembre 2010
Dans les familles les enfants sont une aide précieuse. Pour L’unicef, au Sénégal le taux net de fréquentation des garçons à l’école primaire entre 2005-2009 est de 49%. Lompoul, Sénégal, 3 juin 2010
Les tiges vertes sont utilisées par les enfants pour apprendre à compter. Petit hameau, à environ 5 km de Passena, Burkina Faso, 21 octobre 2010
De bon matin ces enfants se rendent à l’école. Petit hameau à environ 5 km de Passena, Burkina Faso, 22 octobre 2010
De bon matin ces enfants se rendent à l’école. Petit hameau à environ 5 km de Passena, Burkina Faso, 22 octobre 2010
Ces jeunes filles se rendent à l’école en milieu d’après-midi. En arrière plan des barrières faites avec des tiges de mil pour protéger les jardins maraîchers des animaux. Réo, Burkina Faso, 7 décembre 2010
Rentrée scolaire, cet agriculteur scolarise son fils pour la première fois. Un des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) décidés par les Nations Unies est d »’Assurer l’éducation primaire pour Tous » (Objectif 2). Des études au Burkina Faso mettent en évidence l’inégalité face à la scolarisation entre les filles et les garçons, les ruraux et les urbains et les pauvres et les nantis. Tiefora, Burkina Faso, 11 octobre 2010
Avant que commencent les cours, lever de drapeau burkinabé dans la cour de l’école primaire du village. Nante, Burkina Faso, 2 novembre 2010
Scène dans une salle de classe de l’école primaire d’un petit village. C’est la période de la rentrée scolaire et l’enseignant présente à la classe un nouvel élève. Un des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) décidés par les Nations Unies est d »’Assurer l’éducation primaire pour Tous » (Objectif 2). Des études au Burkina Faso mettent en évidence l’inégalité face à la scolarisation entre les filles et les garçons, les ruraux et les urbains et les pauvres et les nantis. Tiefora, Burkina Faso, 11 octobre 2010
Scène dans une salle de classe de l’école primaire d’un petit village. Un des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) décidés par les Nations Unies est d’ « Assurer l’éducation primaire pour Tous » (Objectif 2). Des études au Burkina Faso mettent en évidence l’inégalité face à la scolarisation entre les filles et les garçons, les ruraux et les urbains et les pauvres et les nantis. Tiefora, Burkina Faso, 11 octobre 2010
Scène dans une salle de classe de l’école primaire d’un petit village. Un des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) décidés par les Nations Unies est d’ « Assurer l’éducation primaire pour Tous » (Objectif 2). Des études au Burkina Faso mettent en évidence l’inégalité face à la scolarisation entre les filles et les garçons, les ruraux et les urbains et les pauvres et les nantis. Tiefora, Burkina Faso, 11 octobre 2010
Scène dans une salle de classe de l’école primaire d’un petit village. Un des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) décidés par les Nations Unies est d’ « Assurer l’éducation primaire pour Tous » (Objectif 2). Des études au Burkina Faso mettent en évidence l’inégalité face à la scolarisation entre les filles et les garçons, les ruraux et les urbains et les pauvres et les nantis. Tiefora, Burkina Faso, 11 octobre 2010
Scène dans une salle de classe de l’école primaire d’un petit village. Un des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) décidés par les Nations Unies est d’ « Assurer l’éducation primaire pour Tous » (Objectif 2). Des études au Burkina Faso mettent en évidence l’inégalité face à la scolarisation entre les filles et les garçons, les ruraux et les urbains et les pauvres et les nantis. Tiefora, Burkina Faso, 11 octobre 2010
Scène dans une salle de classe de l’école primaire d’un petit village. Un des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) décidés par les Nations Unies est d’ « Assurer l’éducation primaire pour Tous » (Objectif 2). Si cet objectif est bien sûr essentiel, des mesures des connaissances ont montré que les écoliers des régions rurales avaient des lacunes très importantes. Le travail d’aide dans les champs et à la maison ajouté à la sous-alimentation expliquent l’épuisement des enfants et un manque d’attention en classe. Tiefora, Burkina Faso, 11 octobre 2010
Scène dans la cour d’une école primaire. Cet enseignant à décidé de poursuivre la classe en extérieur afin de maintenir l’attention des élèves. Tiefora, Burkina Faso, 11 octobre 2010
Scène de récréation dans la cour d’une école primaire. A une dizaine de km de Passena, Burkina Faso, 27 octobre 2010
Salle de classe d’une petite école primaire. Des récoltes de sorgho y ont été entreposées. Vé, Bukina Faso, 10 décembre 2010
Les travailleurs, du « Pôle d’excellence agricole de Ngomene financé par sa majesté Mohamed VI, roi du Maroc et l’Etat du Sénégal » comme l’indique le panneau à l’entrée du domaine, profitent du lieu pour récupérer de l’eau potable (notamment pour l’école) car les villages alentour n’en ont pas. Ngomene, Sénégal, 26 mai 2010
Université Cheikh Anta Diop (Sarkozy le 26 juillet 2007 y a prononcé son fameux discours de Dakar). Créée en 1957 pour accueillir environ 6 000 étudiants, elle en compte maintenant environ 60 000. Cette surpopulation est à l’origine de nombreux problèmes de sécurité, de santé (flambée des cas de tuberculose en 2010 par exemple), sans parler des problèmes pédagogiques. Dakar, Sénégal, 18 mai 2010
A l’intérieur de l’Université Cheikh Anta Diop. Des étudiants attendent désespérément le paiement de leurs bourses. Créée en 1957 pour accueillir environ 6 000 étudiants, elle en compte maintenant environ 60 000. Cette surpopulation est à l’origine de nombreux problèmes de sécurité, de santé (flambée des cas de tuberculose en 2010 par exemple), sans parler des problèmes pédagogiques. Dakar, Sénégal, 18 mai 2010
Cantine de l’Université. Créée en 1957 pour accueillir environ 6 000 étudiants, elle en compte maintenant environ 60 000. Cette surpopulation est à l’origine de nombreux problèmes de sécurité, de santé (flambée des cas de tuberculose en 2010 par exemple), sans parler des problèmes pédagogiques. Dakar, Sénégal, 18 mai 2010
A l’intérieur de l’Université Cheikh Anta Diop. Des étudiants attendent désespérément le paiement de leurs bourses. Le 30 avril Ndeye Ngaty Ndoye rapportait dans son article : Mamadou Sané, étudiant en Médecine et Président de la Commission sociale constate : « Nos jeunes frères doivent percevoir leurs bourses depuis octobre, jusqu’à présent ils n’ont encore rien reçu, et vous mesurez les difficultés qu’ils rencontrent. » Dakar, Sénégal, 18 mai 2010
Panneau publicitaire où est inscrit « Espacer les naissances rapproche du bonheur ». La croissance démographiqe pose et va poser des problèmes d’éducation, de formation professionnelle, d’emploi et de santé publique délicats à résoudre. « Ce taux de croissance restera encore élevé pendant les vingt prochaines années, avant de commencer à diminuer légèrement. » Près de Mboumba, Sénégal, 7 juillet 2010
Un enfant aide son père à labourer une parcelle en vue de semer. Dans les familles les enfants sont une aide précieuse. Selon l’unicef, au Mali le taux net de fréquentation des garçons à l’école primaire entre 2005-2009 est de 46%. Près de Kolokani, Mali, 13 septembre 2010
Deux enfants s’abritent de la pluie. Pour l’OMS « À beaucoup d’endroits, la transmission (du paludisme) est saisonnière avec un pic pendant ou juste après la saison des pluies. » Petit hameau sur la route de Sido, Mali, 4 septembre 2010
Scène après un violent orage. Pour l’OMS « À beaucoup d’endroits, la transmission (du paludisme) est saisonnière avec un pic pendant ou juste après la saison des pluies. » Petit village sur la route de Nkourala, Mali, 8 septembre 2010
Dans la commune de Sido, en milieu d’après-midi, un violent orage a éclaté provoquant des inondations. Pour l’OMS « À beaucoup d’endroits, la transmission (du paludisme) est saisonnière avec un pic pendant ou juste après la saison des pluies. » Sido, Mali, 4 septembre 2010
Ce jeune agriculteur vient de récupérer une bombe d’insecticide aéorosol malheureusement vide. Beaucoup d’études montrent le lien qui existe entre paludisme et pauvreté. On peut aussi souvent lire que « le paludisme est une des premières causes de maladie et d’absentéisme chez les enfants et les enseignants. Son contrôle doit avoir un effet de levier et permettre d’atteindre l’objectif d’une éducation primaire pour tous. » Près de Kampti, Burkina Faso, 20 octobre 2010
Une enfant pose avec la moustiquaire qu’elle et sa famille viennent de retirer au dispensaire dans le cadre « d’une distribution massive et gratuite, ce mois d’octobre, de 8 millions de moustiquaires imprégnées à longue durée d’action comme moyen de prévention » mis en place par les autorités burkinabés. Sapouy, Burkina Faso, 3 novembre 2010
Scène dans une parcelle maraîchère. Cet ouvrier agricole qui arrose des plants de tomates vient d’une autre province (Zinare) pour travailler, et dort sur place à environ 200 mètres des eaux du lac Bam. Kongoussi, Burkina Faso, 17 décembre 2010
Scène dans une parcelle maraîchère. Ces ouvriers agricoles viennent eux aussi de la province de Zinare pour travailler la terre, et dorment sur place à environ 300 mètres des eaux du lac Bam. Kongoussi, Burkina Faso, 17 décembre 2010
Campement de saisonniers gambiens venus pour travailler dans les rizières. Ce campement de fortune est installé tout près des champs de riz qu’ils sont en train de faucher. Les personnes vivant près des rizières sont particulièrement exposées au paludisme, et l’eau qui est puisée là est destinée à la consommation. Kassak Sud, Sénégal, 22 juin 2010
Campement de saisonniers gambiens venus pour travailler dans les rizières. Ce campement de fortune est installé tout près des champs de riz qu’ils sont en train de faucher. Les personnes vivant près des rizières sont particulièrement exposées au paludisme et l’eau qui est bue là vient du marigot. Kassak Sud, Sénégal, 22 juin 2010
Campement de saisonniers gambiens venus pour travailler dans les rizières. Ce campement de fortune est installé tout près des champs de riz qu’ils sont en train de faucher. Les personnes vivant près des rizières sont particulièrement exposées au paludisme. Kassak Sud, Sénégal, 22 juin 2010
Scène fréquente de toilette à la sortie d’un village. Cette dame puise de l’eau pour se laver, elle ainsi que son enfant. Cette eau lorsqu’elle est bue peut provoquer des problèmes de santé (le choléra, la typhoïde, la dysenterie, les hépatites, la diarrhée -1,5 million d’enfants de moins de 5 ans meurent chaque année à cause de diarrhées). Daharatou, Sénégal, 23 juillet 2010
Scène fréquente de toilette à la sortie d’un village. Cette dame puise de l’eau pour se laver, elle ainsi que son enfant. Cette eau lorsqu’elle est bue peut provoquer des problèmes de santé (le choléra, la typhoïde, la dysenterie, les hépatites, la diarrhée -1,5 million d’enfants de moins de 5 ans meurent chaque année à cause de diarrhées). Daharatou, Sénégal, 23 juillet 2010
Un ouvrier agricole qui travaille à la récolte de riz s’est blessé à la cheville. Avant d’aller au dispensaire et engager des frais, il est est venu voir un agriculteur du village qui a des talents de rebouteux. Kassak Sud, Sénéga, 17 juin 2010
Dans la cour de la maison familiale, un infirmier fait un pansement à un patient ayant un furoncle au visage. La veille il m’a expliqué sa situation : du fait d’une politique de décentralisation, certains professionnels de la santé ne sont plus sous la tutelle de l’état mais sous la coupe des mairies. Ayant des différends d’ordre politique avec la mairie et n’étant plus payé depuis 2 ans, il a décidé avec la matrone de se mettre en grève voici 3 mois. Il réalise donc maintenant les soins à son domicile. Lakamane, Mali, 30 juillet 2010
Cet enfant attend la fin d’une averse avant de retourner avec son père travailler à la parcelle de terre. Petit hameau sur la route de Tioribougou, Mali, 13 août 2010
Des villageoises font un rapport de la pesée des enfants du village qui a eu lieu la veille, dans le cadre d’un programme de réponse élaboré par les Etats-Unis (USAID) à la crise alimentaire. Il prévoit aussi de s’investir d’une manière « significative dans le secteur agricole. » Ce jour-là en pleine période de soudure (c’est le temps qui sépare la fin de la consommation de la récolte de l’année précédente de la récolte suivante), un enfant a été repéré comme très dénutri et devant être amené les jours suivants à l’hôpital de St Louis. Kassak Sud, Sénégal, 18 juin 2010
Scène de préparation du repas. Ici la dame coupe du gombo qui est généralement destiné à la préparation d’une sauce qui se mange avec des céréales. Petit hameau, à environ 5 km de Passena, Burkina Faso, 22 octobre 2010
Scène de préparation de beignets de mil au bord de la route. C’est la seule nourriture que je trouverai ce soir-là. Près de Sougoumba, Mali, 26 septembre 2010
Des familles peules sont en transhumance « depuis des mois » afin de trouver la nourriture nécessaire à leurs troupeaux. Alors que la saison des pluies a débuté, ils sont maintenant sur le chemin du retour, vers leurs villages situés dans la région sahélienne de Nara. Dans les environs de Segue, Mali, 7 août 2010
Alassane, le soignant du dispensaire a préparé la liste des enfants qui vont bénéficier des vivres (huile, sel, haricots notamment) donnés par le PAM (Programme Alimentaire Mondial) dans le cadre d’un plan de lutte contre la malnutrition aiguë. Daharatou, Sénégal, 23 juillet 2010
Alassane, le soignant du dispensaire a préparé la liste des enfants qui vont bénéficier des vivres (huile, sel, haricots notamment) donnés par le PAM (Programme Alimentaire Mondial) dans le cadre d’un plan de lutte contre la malnutrition aiguë. Daharatou, Sénégal, 23 juillet 2010
Un ancien tirailleur sénégalais pose avec son petit-fils. Celui-ci a été pesé la veille par des villageoises dans le cadre d’un programme de réponse élaboré par les Etats-Unis (USAID) à la crise alimentaire, et qui prévoit aussi de s’investir d’une manière « significative dans le secteur agricole. » L’enfant a été repéré comme très dénutri et devant être amené les jours suivants à l’hôpital de St Louis. Kassak Sud, Sénégal, 19 juin 2010
Campement d’un petit groupe de transhumants peuls. L’enfant allongé souffre du paludisme. A côté de lui, le traitement que son père a acheté un peu plus tôt au dispensaire du petit village de Segue non loin. En Afrique la mortalité, liée à cette maladie parasitaire endémique a été évaluée à près d’un million par an, et la mort d’un enfant sur 5 lui est imputable. La majorité des décès d’enfants dus au paludisme sont expliqués par l’administration trop tardive d’un traitement efficace. Segue, Mali, 8 août 2010
Un père, avec dans ses bras un enfant souffrant du paludisme, s’est rendu au dispensaire pour consulter et acheter des traitements. En Afrique la mortalité, liée à cette maladie parasitaire endémique a été évaluée à près d’un million par an, et la mort d’un enfant sur 5 lui est imputable. La majorité des décès d’enfants dus au paludisme sont expliqués par l’administration trop tardive d’un traitement efficace. Segue, Mali, 8 août 2010
Le jeune Raoul atteint du paludisme est couché sur une natte, devant sa maison. Sa maman le surveille. Elle hésite à le ramener au dispensaire à cause des frais que cela pourrait occasionner. La majorité des décès d’enfants dus au paludisme sont expliqués par l’administration trop tardive d’un traitement efficace. Farako -Ba, Burkina Faso, 3 octobre 2010
Un jeune homme atteint du paludisme se repose. En plus de la mortalité, des études ont montré les effets néfastes de cette maladie sur la productivité, le PIB du pays, et soulignent le facteur d’aggravation de la pauvreté des populations rurales. Les familles déboursent une part importante de leurs ressources pour payer les soins, et les accès palustres limitent l’activité des personnes de tout âge. Petit hameau, à environ 5 km de Passena, Burkina Faso, 21 octobre 2010
Dans la cour du dispensaire, une agricultrice, qui vient d’avoir une injection intra-veineuse de quinine, s’appuie sur une moto. En plus de la mortalité, des études ont montré les effets néfastes du paludisme sur la productivité, le PIB du pays, et soulignent le facteur d’aggravation de la pauvreté des populations rurales. Les familles déboursent une part importante de leurs ressources pour payer les soins, et les accès palustres limitent l’activité des personnes de tout âge. NKourala, Mali, 9 septembre 2010
Dans la cour du dispensaire, cet enfant qui vient d’avoir une perfusion de quinine essaye de récupérer. Après leur départ le « major » (infirmier en chef) me dit : « Si son état reste stable ils ne reviendront pas, tu verras, et il rechutera rapidement. C’est pas comme en France ici, les soins sont payants, les gens n’ont pas d’argent. » Malheureusement comme le prouvent des études « Paludisme et pauvreté sont liés et les populations rurales sont particulièrement touchées. » NKourala, Mali, 9 septembre 2010
Dans la cour du dispensaire, cet enfant qui vient d’avoir une perfusion de quinine quitte les lieux. Après leur départ le « major » (infirmier en chef) me dit : « Si son état reste stable ils ne reviendront pas, tu verras, et il rechutera rapidement. C’est pas comme en France ici, les soins sont payants, les gens n’ont pas d’argent. » Malheureusement comme le prouvent des études « Paludisme et pauvreté sont liés et les populations rurales sont particulièrement touchées. » NKourala, Mali,9 septembre 2010
Scène dans la cour d’un dispensaire. Ce monsieur attend une consultation pour les deux enfants qui l’accompagnent. Farkala, Mali, 12 septembre 2010
Sur le porche du dispensaire du village, cette maman veille son enfant qui a été perfusée car elle souffrait du paludisme. Toutes les 30 secondes, principalement en Afrique subsaharienne un enfant meurt de cette maladie. Nante, Burkina Faso, 1er novembre 2010
Sur le porche du dispensaire, cet enfant qui vient d’avoir une perfusion de quinine essaye de récupérer. Après leur départ le « major » (infirmier en chef) me dit : « Si son état reste stable ils ne reviendront pas, tu verras, et il rechutera rapidement. C’est pas comme en France ici, les soins sont payants, les gens n’ont pas d’argent. » Malheureusement comme le prouvent des études « Paludisme et pauvreté sont liés et les populations rurales sont particulièrement touchées. » NKourala, Mali, 9 septembre 2010
Sur le porche du dispensaire, un jeune homme agriculteur attend une injection de quinine. Une perfusion serait moins douloureuse mais comme les frais sont à sa charge il préfère opter pour l’injection. En plus de la mortalité, des études ont montré les effets néfastes de la maladie sur la productivité, le PIB du pays, et soulignent le facteur d’aggravation de la pauvreté des populations rurales. Les familles déboursent une part importante de leurs ressources pour payer les soins, et les accès palustres limitent l’activité des personnes de tout âge. NKourala, Mali, 10 septembre 2010
Cet enfant souffre du paludisme. Arrivé souillé, car je pense il avait fait une convulsion, il est installé par terre par les infirmiers. Suite à une perfusion de quinine sont état s’améliorera, et il repartira avec sa famille avec un rendez-vous le lendemain pour poursuivre le traitement. Après leur départ le « major » (infirmier en chef) me dit : « Si son état reste stable ils ne reviendront pas, tu verras, et il rechutera rapidement. C’est pas comme en France ici, les soins sont payants, les gens n’ont pas d’argent. » Malheureusement comme le prouvent des études « Paludisme et pauvreté sont liés et les populations rurales sont particulièrement touchées. » NKourala, Mali, 9 septembre 2010
Un couple est venu consulter l’infirmier du dispensaire car leur enfant souffre du paludisme. Farkala, Mali, 11 septembre 2010
L’infirmier ausculte cet enfant qui, quelques jours plus tôt, souffrait du paludisme. Son père l’a amené pour une visite de contrôle. En Afrique la mortalité, liée à cette maladie parasitaire endémique, a été évaluée à près d’un million par an, et la mort d’un enfant sur 5 lui est imputable. La majorité des décès d’enfants dus au paludisme sont expliqués par l’administration trop tardive d’un traitement efficace. Sougoumba, Mali, 27 septembre 2010
L’infirmier du dispensaire ausculte cet enfant souffrant du paludisme. En Afrique la mortalité, liée à cette maladie parasitaire endémique, a été évaluée à près d’un million par an, et la mort d’un enfant sur 5 lui est imputable. La majorité des décès d’enfants dus au paludisme sont expliqués par l’administration trop tardive d’un traitement efficace. Farkala, Mali, 11 septembre 2010
Un père, avec sur ses genoux son enfant souffrant du paludisme, s’est rendu au dispensaire pour consulter et acheter des traitements. L’infirmier prépare ici une injection. En Afrique la mortalité, liée à cette maladie parasitaire endémique, a été évaluée à près d’un million par an, et la mort d’un enfant sur 5 lui est imputable. La majorité des décès d’enfants dus au paludisme sont expliqués par l’administration trop tardive d’un traitement efficace. Segue, Mali, 8 août 2010
Un soignant du dispensaire injecte de la quinine en intra-veineuse à cette dame qui a un accès palustre. En plus de la mortalité, des études ont montré les effets néfastes du paludisme sur la productivité, le PIB du pays, et soulignent le facteur d’aggravation de la pauvreté des populations rurales. Les familles déboursent une part importante de leurs ressources pour payer les soins, et les crises limitent l’activité des personnes de tout âge. NKourala, Mali, 9 septembre 2010
Un soignant du dispensaire injecte de la quinine en intra-veineuse à cet agriculteur qui a un accès palustre. En plus de la mortalité, des études ont montré les effets néfastes de la maladie sur la productivité, le PIB du pays, et soulignent le facteur d’aggravation de la pauvreté des populations rurales. Les familles déboursent une part importante de leurs ressources pour payer les soins, et les crises limitent l’activité des personnes de tout âge. NKourala, Mali, 10 septembre 2010
Un soignant du dispensaire injecte de la quinine à cet agriculteur qui a un accès palustre. Une perfusion serait moins douloureuse mais comme les frais sont à sa charge il préfère opter pour l’injection. En plus de la mortalité, des études ont montré les effets néfastes du paludisme sur la productivité, le PIB du pays, et soulignent le facteur d’aggravation de la pauvreté des populations rurales. Les familles déboursent une part importante de leurs ressources pour payer les soins, et les crises limitent l’activité des personnes de tout âge. NKourala, Mali, 11 septembre 2010
Un père, avec sur ses genoux son enfant souffrant de paludisme, s’est rendu au dispensaire pour consulter et acheter des traitements. L’infirmier injecte ici de la quinine. En Afrique la mortalité, liée à cette maladie parasitaire endémique, a été évaluée à près d’un million par an, et la mort d’un enfant sur 5 lui est imputable. La majorité des décès d’enfants dus au paludisme sont expliqués par l’administration trop tardive d’un traitement efficace. Sougoumba, Mali, 26 septembre 2010
Soins administrés à un enfant souffrant du paludisme. Arrivé souillé, car je pense il avait fait une convulsion, il est installé par terre par les infirmiers. Suite à la perfusion de quinine son état s’améliorera, et il repartira avec sa famille avec un rendez-vous le lendemain pour poursuivre le traitement. Après leur départ le « major » (infirmier en chef) me dit : « Si son état reste stable ils ne reviendront pas, tu verras, et il rechutera rapidement. C’est pas comme en France ici, les soins sont payants, les gens n’ont pas d’argent. » Malheureusement comme le prouvent des études « Paludisme et pauvreté sont liés et les populations rurales sont particulièrement touchées. » NKourala, Mali, 9 septembre 2010
Soins administrés à un enfant souffrant du paludisme. Arrivé souillé, car je pense il avait fait une convulsion, il est installé par terre par les infirmiers. Suite à la perfusion de quinine sont état s’améliorera, et il repartira avec sa famille avec un rendez-vous le lendemain pour poursuivre le traitement. Après leur départ le « major » (infirmier en chef) me dit : « Si son état reste stable ils ne reviendront pas, tu verras, et il rechutera rapidement. C’est pas comme en France ici, les soins sont payants, les gens n’ont pas d’argent. » Malheureusement comme le prouvent des études « Paludisme et pauvreté sont liés et les populations rurales sont particulièrement touchées. » NKourala, Mali, 9 septembre 2010
Scène dans une chambre d’un dispensaire. Les deux enfants souffrent du paludisme. Cette maladie parasitaire endémique a un coût humain, social et économique considérable. En plus de la mortalité (toutes les 30 secondes, principalement en Afrique subsaharienne un enfant en meurt), des études ont montré ses effets néfastes sur la productivité, le PIB du pays et soulignent le facteur d’aggravation de la pauvreté des populations rurales. Les familles déboursent une part importante de leurs ressources pour payer les soins, et les accès palustres limitent l’activité des personnes de tout âge. Farkala, Mali, 12 septembre 2010
Scène dans une salle de soins d’un dispensaire. Le patient, agriculteur de métier attend que le soignant l’ausculte. NKourala, Mali, 11 septembre 2010
Ousmane, un infirmier du dispensaire de ce petit village fait le rapport d’activité du mois. En période de la saison des pluie, les actes de soins liés au paludisme prédominent. Sougoumba, Mali, 27 septembre 2010
Scène dans le coin pharmacie du dispensaire d’un petit village. Ousmane, un des deux infirmiers explique à ce monsieur la prescription des médicaments qu’il vient d’acheter. Sougoumba, Mali, 27 septembre 2010
Scène dans une chambre du dispensaire de ce petit village. L’homme couché a fait une insolation dans son champ, et un membre de sa famille est venu lui rendre visite. Taredji, Sénégal, 6 juillet 2010
Siaka, un des deux infirmiers du dispensaire, met en charge une batterie. Le centre de soins ne dispose ni d’eau courante ni d’électricité. Sougoumba, Mali, 27 septembre 2010
Siaka, un des deux infirmiers du dispensaire, dans la pièce qui lui sert de chambre. Les personnels de santé ne sont pas toujours de la région et doivent habiter souvent dans ou autour du dispensaire. Sougoumba, Mali, 27 septembre 2010
Scène dans un petit hameau à une vingtaine de km de Tiefora. L’agriculteur est mort « de longue maladie » et sera enterré derrière sa maison, dans la nuit, juste après une messe célébrée par un pasteur protestant. Burkina Faso, 9 octobre 2010
Dans la nuit, un enfant d’Adama, est mort du paludisme. Son papa porte le deuil et se prépare à recevoir les visites. Passena, Burkina Faso, 26 octobre 2010
Scène dans un petit hameau à une vingtaine de km de Tiefora. L’agriculteur est mort « de longue maladie » et sera enterré derrière sa maison, dans la nuit, juste après une messe célébrée par un pasteur protestant. Burkina Faso, 9 octobre 2010
Un orage se prépare à éclater, ce qui amènera un surplus d’eau stagnante. Pour l’OMS « À beaucoup d’endroits, la transmission (du paludisme) est saisonnière avec un pic pendant ou juste après la saison des pluies. » Kouoro Barrage, Mali, 19 septembre 2010
Champ de maïs complètement inondé, à proximité du village. Kouoro Barrage, Mali, 19 septembre 2010
