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Bus conduisant les travailleurs immigrés haïtiens dans les champs de haricots le matin. Géorgie, 2009
Ramassage de haricots par les travailleurs migrants haïtiens. Géorgie, 2009
Ramassage de haricots par les travailleurs migrants haïtiens. Géorgie, 2009
Ramassage d’une rangée de haricots par les travailleurs migrants haïtiens. Floride, 2009
Ramassage de haricots par un travailleur migrant haïtien, près du bus. Floride, 2009
Un travailleur migrant haïtien remplit son seau de haricots. Floride, 2009
Le sac est payé 3 dollars 50 en Floride et 3 dollars en Géorgie. Ils gagnent m’ont-ils dit entre 16 et 50 dollars par jour (suivant le nombre d’heures travaillées, la taille et le poids des haricots). Floride, 2009
Le sac est payé 3 dollars 50 en Floride et 3 dollars en Géorgie. Ils gagnent m’ont-ils dit entre 16 et 50 dollars par jour (suivant le nombre d’heures travaillées, la taille et le poids des haricots). Floride, 2009
Le sac est payé 3 dollars 50 en Floride et 3 dollars en Géorgie. Ils gagnent m’ont-ils dit entre 16 et 50 dollars par jour (suivant le nombre d’heures travaillées, la taille et le poids des haricots). Floride, 2009
Le bus appartient à un Haïtien qui recrute l’équipe et s’occupe des contrats avec les agriculteurs. Floride, 2009
Les travailleurs migrants haïtiens mangent dans le bus les menant à un autre champ de haricots. Géorgie, 2009
Les travailleurs migrants haïtiens mangent dans le bus les menant à un autre champ de haricots. Géorgie, 2009
Un travailleur migrant haïtien transporte la balance qui sert à peser les sacs de haricots. Floride, 2009
Le sac est payé 3 dollars 50 en Floride et 3 dollars en Géorgie. Ils gagnent m’ont-ils dit entre 16 et 50 dollars par jour (suivant le nombre d’heures travaillées, la taille et le poids des haricots). Le sac pèse 27 livres. Floride, 2009
Pesée des sacs. Celui-ci est payé 3 dollars 50 en Floride et 3 dollars en Géorgie. Ils gagnent m’ont-ils dit entre 16 et 50 dollars par jour (suivant le nombre d’heures travaillées, la taille et le poids des haricots). Le sac pèse 27 livres. Géorgie, 2009
Un ticket est donné à chaque travailleur pour comptabiliser le nombre de sacs qu’ils ont remplis. Géorgie, 2009
Chaleur intense à midi. Pause pour les travailleurs migrants haïtiens. Floride, 2009
Pause repas et sieste pour les travailleurs migrants haïtiens. Géorgie, 2009
Chaleur intense dans la journée. Pause pour les travailleurs migrants haïtiens. Géorgie, 2009
Pause pour les travailleurs migrants haïtiens. Chaleur intense dans la journée. Le bus est le seul endroit où trouver de l’ombre. Géorgie, 2009
Ces deux hommes sont chargés de surveiller le travail et d’acheminer les sacs de haricots. Floride, 2009
Un travailleur haïtien se lave les mains et se rafraîchit alors que les sacs sont transportés à la coopérative. Floride, 2009
Fin de journée pour les travailleurs migrants haïtiens. Ils attendent que tout le monde ait terminé pour pouvoir rentrer. Ce jour-là, le départ de l’habitation est à 6 heures du matin et le retour à 8 heures du soir. Ils travaillent souvent 7 jours sur 7. Géorgie, 2009
Fin de journée pour les travailleurs migrants haïtiens. Ils attendent que tout le monde ait terminé pour pouvoir rentrer. Ce jour-là, le départ de l’habitation est à 6 heures du matin et le retour à 8 heures du soir. Ils travaillent souvent 7 jours sur 7. Géorgie, 2009
Fin de journée pour les travailleurs migrants haïtiens. Ils attendent que tout le monde ait terminé pour pouvoir rentrer. Ce jour-là, le départ de l’habitation est à 6 heures du matin et le retour à 8 heures du soir. Ils travaillent souvent 7 jours sur 7. Géorgie, 2009
Fin de journée pour les travailleurs migrants haïtiens. Ils attendent que tout le monde ait terminé pour pouvoir rentrer. Ce jour-là, le départ de l’habitation est à 6 heures du matin et le retour à 8 heures du soir. Ils travaillent souvent 7 jours sur 7. Géorgie, 2009
Fin de journée pour les travailleurs migrants haïtiens. Retour au domicile loué 20 dollars par personne et par semaine. Géorgie, 2009
Fin de journée pour les travailleurs migrants haïtiens. Mise en commun de l’argent (tontine). Chacun a aussi l’habitude d’envoyer de la nourriture ou de l’argent (environ 100 dollars par quinzaine m’ont-ils dit), à la famille restée au pays. Géorgie, 2009
Préparation du repas pour le lendemain chez les travailleurs migrants haïtiens. Cette maison est louée 20 dollars par personne et par semaine. 10 personnes y habitent, et elle est louée par un Américain nommé Sam. Géorgie, 2009
Travailleurs migrants haïtiens peu avant d’aller au lit. Géorgie, 2009
Travailleurs migrants haïtiens peu avant d’aller au lit. Géorgie, 2009
Fin de soirée dans la maison que partagent les travailleurs migrants haïtiens. Géorgie, 2009
Dans la maison des travailleurs migrants haïtiens, photos d’enfants restés au pays. Géorgie, 2009
Fin de soirée dans la maison que partagent les travailleurs migrants haïtiens. Géorgie, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Géorgie, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Floride, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Géorgie, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Géorgie, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Géorgie, 2009
Portrait de travailleurs migrants haïtiens. Géorgie, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Floride, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Floride, 2009
Portrait de travailleurs migrants haïtiens. Floride, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Géorgie, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Géorgie, 2009
Portraits de travailleurs migrants haïtiens. Géorgie, 2009
Portrait de travailleur migrant haïtien. Géorgie, 2009
