Hélène et Thomas Chassaing
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(Image archive) - C’est autour du Parc National de Doñana, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco, que 95 % des fraises espagnoles sont produites, sur une surface de 5 000 hectares.
(Image archive) - C’est autour du Parc National de Doñana, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco, que 95 % des fraises espagnoles sont produites, sur une surface de 5 000 hectares.
(Image archive) - C’est autour du Parc National de Doñana, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco, que 95 % des fraises espagnoles sont produites, sur une surface de 5 000 hectares.
(Image archive) - Coopérative. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Coopérative. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Coopérative. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Coopérative. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Une travailleuse polonaise venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elle doit aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Des travailleuses roumaines venues avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elles doivent aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Une travailleuse polonaise venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elle doit aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Des travailleuses roumaines venues avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elles doivent aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - C’est autour du Parc National de Doñana, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco, que 95 % des fraises espagnoles sont produites, sur une surface de 5 000 hectares.
(Image archive) - Ici, préparation des produits phytosanitaires qui sont envoyés ensuite dans le système d'irrigation des plantations de fraises sous serre.
(Image archive) - Préparation du produit phytosanitaire par un travailleur malien. Son employeur, en colère de me voir prendre une telle photo, m'écarte de là. Il m'expliquera plus tard que le préparateur devrait normalement avoir suivi une formation pour ça, et surtout porter une tenue complète de protection. Les accidents de travail sont nombreux, mais sans contrat de travail....
(Image archive) - Devant le bâtiment qui sert de logement aux travailleurs immigrés, ce tracteur conduit par un ouvrier malien transporte des produits phytosanitaires. A l'arrière, une travailleuse roumaine venue avec un CEN (Contrato en origen).
(Image archive) - Un journalier malien prépare la pulvérisation du produit phytosanitaire. Travailleur migrant venu spécialement pour la saison des fraises. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Un journalier malien prépare la pulvérisation du produit phytosanitaire. Travailleur migrant venu spécialement pour la saison des fraises. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Un journalier malien pulvérisant du désherbant. Travailleur migrant venu spécialement pour la saison des fraises. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Deux journaliers maliens pulvérisant du désherbant. Travailleurs migrants venus spécialement pour la saison des fraises. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Des journaliers maliens et une travailleuse roumaine venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail.
(Image archive) - Une travailleuse polonaise venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elle doit aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - C’est autour du Parc National de Doñana, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco, que 95 % des fraises espagnoles sont produites, sur une surface de 5 000 hectares.
(Image archive) - C’est autour du Parc National de Doñana, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco, que 95 % des fraises espagnoles sont produites, sur une surface de 5 000 hectares.
(Image archive) - Un journalier malien prépare la pulvérisation de désherbant. Travailleur migrant venu spécialement pour la saison des fraises. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Une travailleuse roumaine et une travaileuse polonaise venues avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail.
(Image archive) - Des travailleuses roumaines et polonaises venues avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elles doivent aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Des travailleuses roumaines, polonaises et marocaine venues avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elles doivent aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Des travailleuses roumaines et polonaises venues avec un CEN (Contrato en origen) procèdent à la pesée des caisses de chacune. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Des travailleuses roumaines et polonaises venues avec un CEN (Contrato en origen) procèdent au comptage des caisses de chacune. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Un contremaître espagnol de l'exploitation. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Des travailleuses roumaines venues avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elles doivent aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Une travailleuse polonaise venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elle doit aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Une travailleuse polonaise venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elle doit aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Une travailleuse marocaine venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail.
(Image archive) - Des travailleuses venues avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail.
(Image archive) - Une travailleuse marocaine venue avec un CEN (Contrato en origen) pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail.
(Image archive) - Des travailleuses polonaises venues avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elles doivent aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Des travailleuses polonaises venues avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elles doivent aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Une travailleuse dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva.
(Image archive) - Une travailleuse marocaine venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail.
(Image archive) - Une travailleuse roumaine venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elle doit aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Une travailleuse polonaise venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail. Elle doit aussi payer la moitié du transport, l'autre moitié est en général à la charge de l'exploitant agricole.
(Image archive) - Une travailleuse marocaine venue avec un CEN (Contrato en origen), pour récolter les fraises dans les serres. 95% de la production espagnole des fraises se fait à Huelva. Le salaire est de 35€ par jour environ, pour 6 heures et demie de travail.
(Image archive) - Plantation de framboises sous serres.
(Image archive) - Plantation de framboises sous serres.
(Image archive) - Plantation de framboises sous serres.
(Image archive) - Plantation de framboises sous serres.