Hélène et Thomas Chassaing
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(Image archive) - Des journaliers marocains de corvée d'eau pour leur logement, après une matinée de travail dans les champs de fraises. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Un travailleur marocain ayant obtenu ses papiers pendant la grande vague de régularisation en 2005, vient spécialement du nord de l'Espagne pour la récolte de fraises. Le sort des travailleurs régularisés n'est pas meilleur que celui des sans-papiers, du fait de la concurrence avec ces derniers et aussi avec ceux venus sous contrats CEN (Contrato en origen). Il travaille le plus souvent sans contrat et payé au dessous des conventions collectives. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Des journaliers marocains se logeant avec l'autorisation de l'employeur dans un cortijo (maison agricole abandonnée), face aux champs de fraises dans lesquels ils travaillent. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Des journaliers marocains se logeant avec l'autorisation de l'employeur dans un cortijo (maison agricole abandonnée), face aux champs de fraises dans lesquels ils travaillent. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Un journalier marocain se logeant avec l'autorisation de l'employeur dans un cortijo (maison agricole abandonnée), face aux champs de fraises dans lesquels il travaille. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Un journalier marocain se logeant avec l'autorisation de l'employeur dans un cortijo (maison agricole abandonnée), face aux champs de fraises dans lesquels il travaille. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Un migrant marocain, fait sa prière à l'entrée du cortijo (maison agricole abandonnée prêtée par l'employeur), face aux champs de fraises dans lesquels il travaille. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Un travailleur marocain ayant obtenu ses papiers pendant la grande vague de régularisation en 2005, vient spécialement du nord de l'Espagne pour la récolte de fraises. Le sort des travailleurs régularisés n'est pas meilleur que celui des sans-papiers, du fait de la concurrence avec ces derniers et aussi avec ceux venus sous contrats CEN (Contrato en origen). Il travaille le plus souvent sans contrat et payé au dessous des conventions collectives. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Un journalier marocain se logeant avec l'autorisation de l'employeur dans un cortijo (maison agricole abandonnée), face aux champs de fraises dans lesquels il travaille. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Un journalier marocain se logeant avec l'autorisation de l'employeur dans un cortijo (maison agricole abandonnée), face aux champs de fraises dans lesquels il travaille. Espagne, Province Huelva, 2007
(Image archive) - Un journalier marocain se logeant avec l'autorisation de l'employeur dans un cortijo (maison agricole abandonnée), face aux champs de fraises dans lesquels il travaille. Espagne, Province Huelva, 2007