Hélène et Thomas Chassaing
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Sur un mur du centre de recherche Africa Rice. Ndiaye, Sénégal, 16 juin 2010
Repiquage de nouvelles variétés de riz. Le Nerica (New rice for Africa), est considéré par le centre comme porteur d’espoir pour des millions de paysans africains. Des organisations paysannes dénoncent des résultats de rendements sur le terrain pas à la hauteur des chiffres annoncés et une expansion de l’agro-business, qui menace "de faire disparaître les fondements même de la souveraineté alimentaire africaine: les petits producteurs et leurs systèmes locaux d’utilisation durable de semences" (organisation grain). Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Repiquage de nouvelles variétés de riz. Centre de recherche AfricaRice, Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Repiquage de variétés de riz à l'étude. Centre de recherche AfricaRice, Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Repiquage de variétés de riz à l'étude. Le Nerica (acronyme de New rice for Africa) est un croisement de deux espèces de riz cultivé : Oryza sativa (l’espèce asiatique) et Oryza glaberrima (l’espèce africaine). Pour certains ce riz hybride est décrit comme le "riz miracle africain" car il présente une forte teneur en protéine, s'accomode de sols pauvres et de sécheresse, résiste aux adventices, aux prédateurs ainsi qu’aux maladies. Il peut se passer des engrais et des pesticides, a un cycle de croissance plus court que des riz classiques, etc... Pour d'autres, il serait la tête de pont de l’industrie agroalimentaire sur le continent noir qui obligerait les producteurs à acheter des semences tous les ans. Centre de recherche AfricaRice, Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Sur un mur du centre de recherche Africa Rice . Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Un assistant de recherches réalise des mesures de photosynthèse afin d'étudier la vitalité de différentes variétés de riz dans des contextes hydriques différents. Centre de recherche Africa Rice, Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Un scientifique ivoirien, pratique la pollinisation dans une serre, en mettant les graines de pollen du parent mâle ou donneur à l'intérieur des graines du parent émasculé (femelle). Centre de recherche AfricaRice, Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Centre de recherche AfricaRice, Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Une doctorante au CIRAD, étudie le stress thermique de différentes variétés de riz. Ceci afin de mieux décrire la réaction de la plante dans un micro-climat donné, dans le cadre de recherches concernant le changement climatique.Centre de recherche AfricaRice, Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Sur un mur du centre de recherche Africa Rice. Ndiaye, Sénégal, 15 juin 2010
Le chef de la station de recherche de l'ISRA (Institut Sénégalais de Recherches Agricoles) montre une parcelle d'une variété de riz Nérica. Oryza sativa (l’espèce asiatique) et Oryza glaberrima (l’espèce africaine). Pour certains ce riz hybride est décrit comme le "riz miracle africain" car il présente une forte teneur en protéine, s'accomode de sols pauvres et de sécheresse, résiste aux adventices, aux prédateurs ainsi qu’aux maladies. Il peut se passer des engrais et des pesticides, a un cycle de croissance plus court que des riz classiques, etc... Pour d'autres, il serait la tête de pont de l’industrie agroalimentaire sur le continent noir qui obligerait les producteurs à acheter des semences tous les ans. Fanaye, Sénégal, 5 juillet 2010
A la station de recherche de l'ISRA (Institut Sénégalais de Recherches Agricoles) des épis de maïs et de blé accrochés dans un bureau. Comme pour le riz Nerica les apports du maïs Obatampa sont selon les parties, encensés ou décriés. En ce qui concerne le blé, le Sénégal voudrait se remettre à la culture du blé quelques 30 ans après avoir arrêté de le produire. Pour les décideurs, les habitudes alimentaires ayant changé (pain, pâtes,...), la relance de la production pourrait aider le pays à atteindre ses objectifs en matière de sécurité alimentaire, de lutter contre la pauvreté et de permettre au pays de rééquilibrer sa balance commerciale. Fanaye, Sénégal, 5 juillet 2010
Le chef de la station de recherche de l'ISRA (Institut Sénégalais de Recherches Agricoles) montre des pastilles d'engrais produit avec le phosphate de Matam qu'ils testent. Fanaye, Sénégal, 5 juillet 2010
Introduction et vulgarisation d'une technique chinoise de repiquage de riz à la volée. Celle-ci nécessite l'utilisation de plateaux en plastique, sur lesques sont d’abord réalisés les semis. Alors qu'au Sénégal on utilise plus fréquemment la technique de jeter directement les semences dans l'eau, ce qui entraîne plus de pertes et plus d'herbes. Centre de recherche sino-sénégalais, Guia, Sénégal, 6 juillet 2010
Après la pause déjeuner. Centre de recherche sino-sénégalais, Guia, Sénégal, 6 juillet 2010
Dans la station météo à l'abandon, par manque de moyens, du centre régional de recherche agronomique. Ici, ils mènent des études sur des croisements avec des chèvres alpines, et sur l'arachide. Same agricole, Mali, 25 juillet 2010
Le gestionnaire du centre régional de recherche agronomique (IER) montre la station météo à l'abandon par manque de moyens. Il se contente de pratiquer des relevés des chutes de pluies, qu'il communique à la météo nationale, mais n'a aucun moyen de faire des prévisions (ce qui est essentiel pour les semis par exemple). Same agricole, Mali, 25 juillet 2010
Dans son bureau, le responsable d'une sous-station agronomique du ministère de l'agriculture (IER). Segala , Mali, 27 juillet 2010
Dans le bureau du responsable d' une sous-station agronomique du ministère de l'agriculture (IER), relevés de la pluviométrie sur plusieurs années. Segala , Mali, 27 juillet 2010
Sur un mur du centre de recherche Africa Rice. Ndiaye, Sénégal, 16 juin 2010
Un ingénieur chercheur fait visiter la "vitrine" (parcelles de démonstration) de l'INERA, l'Institut de l'Environnement et de Recherches Agricoles. Ces parcelles de démonstration sont destinées à vulgariser par l'exemple les résultat de ses recherches dans des nouvelles variétés de maïs, de riz, de plantes fourragères, de mil, de fonio, de sorgho, de soja, de manioc, d'arachides, de coton génétiquement modifié, etc... Ici du manioc. Farako-Bâ, Burkina Faso, 4 octobre 2010
Un chercheur du secteur cotonnier de l'INERA, l'Institut de l'Environnement et de Recherches Agricole fait visiter la parcelle du coton génétiquement modifié (CGM) de la firme Monsanto. Le coton représentait en 2009 60% des recettes d’exportation du Burkina (premier producteur en Afrique subsaharienne), où il fait travailler plus de trois millions de personnes. Ici comme ailleurs les paysans sont divisés sur l’opportunité de se lancer dans la production d'OGM pour les même raisons (coût des semences, inquiétudes pour la santé, l'environnement). Farako-Bâ, Burkina Faso - 4 octobre 2010
Un ingénieur chercheur fait visiter la "vitrine" (parcelles de démonstration) de l'INERA, l'Institut de l'Environnement et de Recherches Agricoles. Ces parcelles de démonstration sont destinées à vulgariser par l'exemple les résultat de ses recherches dans des nouvelles variétés de maïs, de riz, de plantes fourragères, de mil, de fonio, de sorgho, de soja, de manioc, d'arachides, de coton génétiquement modifIé, etc. Ici des plantes fourragères. Farako-Bâ, Burkina Faso, 4 octobre 2010.
Dans un laboratoire de l'INERA, l'Institut de l'Environnement et de Recherches Agricoles. Farako-Bâ, Burkina Faso, 4 octobre 2010
Aire de séchage de la station de recherche de l'INERA (l'Institut de l'Environnement et de Recherches Agricoles) de Saria. Cet homme déplace le sésame fauché quelques jours plus tôt afin de le faire sécher correctement. Toute la récolte est destinée à la''multiplication'' des semences. Cela permettra d'approvisionner les agriculteurs la saison prochaine. La filière du sésame se développe au Burkina ,"l'autre or blanc du Burkina Faso" lit-on parfois car le sésame, vendu à l'exportation, est une source de revenus pour le pays et les producteurs. Burkina Faso, 11 novembre 2010
Semis de céréales dans un champs entouré de haies vives (famille euphoriacée qui permet de faire du latex) destinée à stabiliser les sols, lutter contre l'érosion, stopper les vents et protéger les cultures des gros animaux. Sous-station du pôle agronomique du ministère de l'agriculture (IER), Bema, Mali, 1er août 2010
Sur un mur du centre de recherche Africa Rice. Ndiaye, Sénégal, 16 juin 2010