Contrairement à beaucoup d’autres textes d’introduction des sujets sur ce site, celui-ci sera bref !
Durant le tour de France à vélo, en fait dès le début du voyage en 2012, j’ai remarqué que sur la pelouse devant les maisons étaient souvent disposés des outils agricoles anciens. Je me suis mis à les photographier chaque fois qu’une petite pause dans l’effort était la bienvenue ou que je trouvais quelqu’un dans son jardin pour discuter un peu. Certains avaient été peints (parfois même en rose), d’autres décorés de pots de fleurs et d’autres étaient laissés en l’état.
Pour avoir quand même pas mal voyagé à vélo à l’étranger, sauf erreur de notre part, on ne se rappelle pas qu’il y en ait autant ailleurs et c’est pourquoi il nous semble que c’est une particularité bien française.
Dans le but d’écrire ce texte, nous comptions nous appuyer sur le résultat de quelques recherches internet et, à notre grande surprise, nous avons fait chou blanc. On pensait pourtant trouver des travaux universitaires, des articles de presse et même des livres sur ce que l’on pourrait qualifier de petite curiosité suburbaine.
Alors on se lance timidement : à notre sens, cela témoigne d’un attachement démonstratif à la terre, aux racines paysannes, aux terroirs alors que l’évolution des pratiques agricoles d’après-guerre et les nouveaux modes de vie tendent à nous faire sortir chaque jour de cette histoire millénaire et à nous faire rentrer dans le post-modernisme.
Dernière chose, devant les maisons il y avait parfois d’autres instruments agricoles anciens tels que des tonneaux, des pressoirs… Si nous avons choisi les charrues, c’est parce qu'elles étaient plus nombreuses et aussi pour leur dimension symbolique plus forte il nous semble : travail du sol avant les semis, traction animale souvent, etc.
Si vous entendez ou lisez des choses à propos de tout cela n’hésitez pas à nous contacter. Nous serions contents d’en apprendre plus.
Bon visionnage
Contrairement à beaucoup d’autres textes d’introduction des sujets sur ce site, celui-ci sera bref !
Durant le tour de France à vélo, en fait dès le début du voyage en 2012, j’ai remarqué que sur la pelouse devant les maisons étaient souvent disposés des outils agricoles anciens. Je me suis mis à les photographier chaque fois qu’une petite pause dans l’effort était la bienvenue ou que je trouvais quelqu’un dans son jardin pour discuter un peu. Certains avaient été peints (parfois même en rose), d’autres décorés de pots de fleurs et d’autres étaient laissés en l’état.
Pour avoir quand même pas mal voyagé à vélo à l’étranger, sauf erreur de notre part, on ne se rappelle pas qu’il y en ait autant ailleurs et c’est pourquoi il nous semble que c’est une particularité bien française.
Dans le but d’écrire ce texte, nous comptions nous appuyer sur le résultat de quelques recherches internet et, à notre grande surprise, nous avons fait chou blanc. On pensait pourtant trouver des travaux universitaires, des articles de presse et même des livres sur ce que l’on pourrait qualifier de petite curiosité suburbaine.
Alors on se lance timidement : à notre sens, cela témoigne d’un attachement démonstratif à la terre, aux racines paysannes, aux terroirs alors que l’évolution des pratiques agricoles d’après-guerre et les nouveaux modes de vie tendent à nous faire sortir chaque jour de cette histoire millénaire et à nous faire rentrer dans le post-modernisme.