L’objectif était simple : partir de la maison à vélo, et rouler aussi loin que possible, vers l’est. De mai 2001 à novembre 2002, à travers 17 pays (plus de 18 000 km), nous allons vivre l’aventure de l’errance et l’ivresse du mouvement.
Sans préjugés (c’est dur!) et disponibles, nous serons souvent invités par nos chères victimes vespérales, à qui nous demandions de planter la tente dans le jardin.
Le matériel photo d’occasion, que nous avions embarqué dans cette petite échappée belle, sera pour Thomas d’un usage d’abord compliqué, puis deviendra précieux. Le matin, au moment de se quitter, il prend l’habitude de faire un portrait souvenir de nos hôtes, en noir et blanc.
Á Florence, peut-être en réaction à tant de beauté, de foule et de chaleur, il est tenté de jeter pellicules et appareils dans l’Arno. Finalement, il continue, uniquement en couleur et sans aucune obligation de carnets.
Petit à petit, photographier se révèle un moyen de rencontres, de connaissance (des autres, des lieux, de soi,…). L’activité lui permet aussi l’approfondissement de réflexions, qu’immanquablement un tel voyage suscite.
De retour au pays, c’est avec fébrilité qu’il fait développer les films. En voici quelques images.
Hélène, juin 2004.
(Cette série a été exposée à Toulouse pour le festival Manifesto en 2004 et a été présentée entre le 23 et le 26 octobre 2008 durant le festival du cinéma européen de Gaillac.)
L’objectif était simple : partir de la maison à vélo, et rouler aussi loin que possible, vers l’est. De mai 2001 à novembre 2002, à travers 17 pays (plus de 18 000 km), nous allons vivre l’aventure de l’errance et l’ivresse du mouvement.
Sans préjugés (c’est dur!) et disponibles, nous serons souvent invités par nos chères victimes vespérales, à qui nous demandions de planter la tente dans le jardin.
Le matériel photo d’occasion, que nous avions embarqué dans cette petite échappée belle, sera pour Thomas d’un usage d’abord compliqué, puis deviendra précieux. Le matin, au moment de se quitter, il prend l’habitude de faire un portrait souvenir de nos hôtes, en noir et blanc.
Á Florence, peut-être en réaction à tant de beauté, de foule et de chaleur, il est tenté de jeter pellicules et appareils dans l’Arno. Finalement, il continue, uniquement en couleur et sans aucune obligation de carnets.
Petit à petit, photographier se révèle un moyen de rencontres, de connaissance (des autres, des lieux, de soi,…). L’activité lui permet aussi l’approfondissement de réflexions, qu’immanquablement un tel voyage suscite.
De retour au pays, c’est avec fébrilité qu’il fait développer les films. En voici quelques images.