Depuis notre premier périple à vélo qui nous mena en Inde en 2001 (voir la série Tandem), nous avons l’habitude de faire des "photos souvenirs" des personnes qui nous accordent leur hospitalité.
Voyager à vélo avec une tente, en dehors de questions d'économie (qui ne sont pas négligeables, notre budget étant d'environ 5 euros par jour en moyenne), a le grand intérêt de faciliter la rencontre avec les habitants du pays. Un soir chez une personne solitaire, le lendemain dans une famille plutôt aisée ou bien chez une qui se trouve dans la dèche par exemple, permet de mieux saisir les lieux et les temps que nous traversons. Presque tous les jours c’est une nouvelle histoire, et bien entendu d’un pays à l’autre il y a des différences (mais de moins en moins à vrai dire nous semble-t-il !).
Ce n’est pas toujours de tout repos mais parfois des relations très fortes naissent des quelques heures que nous passons ensemble. Et bien sûr, le lendemain lorsque nous roulons, cela nous donne beaucoup de choses à penser sur le pays, les gens, nous mêmes, et aussi sur les grandes questions que sont celles de l’hospitalité et de son contraire : l’hostilité (1) (2).
Nous remercions encore une fois bien chaleureusement toutes les personnes qui nous ont aidés durant les deux mois de voyage et les presque 2 000 km parcourus de Santiago du Chili à San Pedro de Atacama.
Abrazos Muy fuerte !
(1) https://www.cairn.info/revue-cites-2016-4-page-3.html (consulté le 24 mars 2021)
(2) https://www.histoire-immigration.fr/sites/default/files/musee-numerique/documents/ext_media_fichier_790_fiche3-textes-profs.pdf (consulté le 24 mars 2021)
Depuis notre premier périple à vélo qui nous mena en Inde en 2001 (voir la série Tandem), nous avons l’habitude de faire des "photos souvenirs" des personnes qui nous accordent leur hospitalité.
Voyager à vélo avec une tente, en dehors de questions d'économie (qui ne sont pas négligeables, notre budget étant d'environ 5 euros par jour en moyenne), a le grand intérêt de faciliter la rencontre avec les habitants du pays. Un soir chez une personne solitaire, le lendemain dans une famille plutôt aisée ou bien chez une qui se trouve dans la dèche par exemple, permet de mieux saisir les lieux et les temps que nous traversons. Presque tous les jours c’est une nouvelle histoire, et bien entendu d’un pays à l’autre il y a des différences (mais de moins en moins à vrai dire nous semble-t-il !).
Ce n’est pas toujours de tout repos mais parfois des relations très fortes naissent des quelques heures que nous passons ensemble. Et bien sûr, le lendemain lorsque nous roulons, cela nous donne beaucoup de choses à penser sur le pays, les gens, nous mêmes, et aussi sur les grandes questions que sont celles de l’hospitalité et de son contraire : l’hostilité (1) (2).
Nous remercions encore une fois bien chaleureusement toutes les personnes qui nous ont aidés durant les deux mois de voyage et les presque 2 000 km parcourus de Santiago du Chili à San Pedro de Atacama.